mardi 6 avril 2010

C'est l'histoire de... #1 — Tout ce qui brille

Aujourd'hui, je m'essaye à la critique cinéma en vidéo. Ça vaut ce que ça vaut...

Et cette semaine, je suis allé voir Tout ce qui brille, une comédie drôle et printanière (si si, printanière), pleine de fraîcheur.


Life in Paris #6 — Entre deux averses

 
Comme je le disais dans un autre article, pourquoi dépenser un ticket de métro quand on peut marcher. C'est donc ce que j'ai fais, la semaine dernière, pour aller de la Gare de Lyon à Raspail. Le sac dans une main, l'appareil photo dans l'autre.

Entre deux averses, j'ai traversé la Seine, j'ai visité le Jardin des Plantes (la partie non payante - 9€ pour voir des singes, faut pas déconner), je me suis baladé dans le 5ème arrondissement, on m'a appelé «Monsieur le photographe» (un passant étrange qui cherchait son chemin), puis sans savoir comment, je me suis retrouvé au Panthéon, où une jeune mariée se faisait prendre en photo devant une foule de lycéens étrangers qui l'applaudissaient, et j'ai vu un homme en costume militaire (datant du 18ème siècle, je pense), je suis redescendu jusqu'aux Jardins du Luxembourg, j'ai regardé une expo photo sur les nomades (Exposition "Esprit nomade" de Tizianna et Gianni Baldizzone - jusqu'au 18 juillet), j'ai eu envie de partir en Ouzbékistan, je me suis baladé un moment au milieu des touristes et des joggers dans le Parc, et je suis arrivé à Raspail. Tout ça entre deux averses...


Life in Paris #5 bis — La tour Eiffel et un café

Ces derniers temps, les lundis ressemblaient pas mal à ça : balade dans Paris, sac sur le dos ou dans une main, appareil photo dans l'autre. Se balader dans les rues quand la grande majorité des gens reprennent leur semaine de boulot a une saveur particulière. Ça fait vrai.

Il y a quelques semaines, avant un rendez-vous dans le 16ème arrondissement, je me suis baladé près de la Tour Eiffel (que je n'étais pas encore allé voir) et me suis pris un petit déjeuner chez McDonald's (qui tente apparemment de copier la méthode Starbucks).

Il n'empêche, j'ai jamais aimé les lundis.